vendredi 23 décembre 2011

Petit conte de Noël.


Petit conte de Noël

C’était peu après la fin de la guerre, en 1948, j’avais quatre ans.
Mon père avait acheté un grand sapin pour Noël. Il l’avait installé dans le salon et l’avait décoré de figurines dessinées et découpées dans une espèce de papier mica doré dont j’ignore le nom et la composition, ainsi que de pommes de pins ramassées et peintes de toutes les couleurs, de cheveux d’anges et de petits bougeoirs métalliques à pinces avec bougies placées à la pointe des branches du sapin.
Je trouvais le sapin magnifique, merveilleux…….
A Noël mes parents avaient invité des amis à passer le réveillon.
Nous étions tous au salon quand tout à coup un invité s’est précipité en criant vers le sapin, suivi par mon père et un autre invité.
Une bougie avait mis le feu aux cheveux d’anges.
Le sapin fut renversé et piétiné.
L’incendie évité.
Mais moi, je pleurais, je pleurais.


samedi 15 octobre 2011

Barnabé 21.1.2009 - 13.10.2011


Tu as été conçu paraît-il, la nuit de la Saint Sylvestre. Tu es né exactement 21 jours plus tard à Liège chez Alisha.
Moi j’étais en deuil de mon Virgile et une amie m’avait conseillé de faire une demande d’adoption. Ce que j’ai fait et me suis retrouvée 6éme sur la liste. J’ai donc tout comme ta maman attendu ta venue. C’était la première fois que j’adoptais ainsi, mes autres ratous venant d’animalerie ou de refuge.
Je me souviens bien du jour de ta naissance. Alisha m’avait envoyé vers les 19 h un message : ils arrivent. Puis vers 22h30 : ils sont tous là, ils sont 14. La joie !!!!
Mais il me fallait encore attendre que tu grandisses.

Le 8 mars je suis allée te chercher à Liège ainsi qu’un copain pour toi venant de chez Superdoudou. Il fut nommé Ignace et avait déjà trois mois, bien plus grand que toi.
Hélas, cela n’a pas marché entre vous et il a fallu en arriver à une castration pour tous les deux après un accident pour toi. Vous avez ainsi perdu bien du temps à être heureux.

A partir de là, ce fut le bonheur.

Mais le mois de novembre 2010 fut un mois de douleur. Opération d’un abcès pour toi, maladie d’Ignace.
Tu perdis ainsi ton copain un mois plus tard.
Au début tu l’as cherché partout, écouté les bruits. Tu l’attendais……
Puis tu t’es résigné, après quelques temps tu n’as même plus voulu te promené, seulement rester dans le coin des rats et dormir. Tu déprimais.

Puis la maladie est venue tout doucement. Tu avais des difficultés à marcher.
J’ai après bien des recherches, adopter deux petits ratous pour te donner de la compagnie.
Mais ta maladie a gagné du terrain et eux ont grandit et tu ne voulais plus d’eux. Tu voulais le calme.
 Ta vie passa donc calmement dans ta cage aménagée selon ton handicap. Le matin déjeunant sur mes genoux, le soir reposant dans ma robe de chambre au chaud et appréciant les câlins.

Puis tu vieillis très fort tout à coup et la maladie gagna finalement en se compliquant.
Tu souffrais trop, je n’ai plus su t’aider autrement qu’en te faisant endormir pour toujours.
Tu es décédé le 13.10.2011 à 15h à Etterbeek, chez ta vétérinaire en notre présence.

Adieu mon petit ange, rejoint Ignace sur le nuage.
Tu nous manques et tu nous laisses un grand chagrin.


Coïncidence : Névi’im, frère de Barnabé, est décédé de vieillesse quelques heures plus tard


lundi 3 octobre 2011

Les passagers de la planète Terre. Un texte de François Cavanna


Avoir davantage pitié des bêtes que des hommes, c’est pas très bien vu chez les hommes. C’est considéré comme une sorte de désertion, de trahison, voire de perversion ou d’infirmité mentale. Mais bon dieu, nous sommes hommes par hasard. Tant mieux, j’aime bien comprendre le monde. Et c’est justement parce que je suis homme que je puis transcender cet instinct grégaire, irréfléchi, purement animal qui fait se serrer les coudes aux hommes, les incite à diviniser l’homme par-dessus toute créature. Réflexe spontané, réflexe normal. Normal chez une oie, chez un phoque, chez un hareng. Un homme devrait aller plus loin. C’est parce que j’essaie d’être vraiment, pleinement homme, c’est-à-dire une bête avec un petit quelque chose en plus, que je mets sur un pied d’égalité ce qui est homme et ce qui ne l’est pas. M’emmerdez pas avec votre Saint François d’Assise, j’ai pas de paradis à gagner. Mon amour des bêtes est bien autre chose qu’un attendrissement devant le mignon minet, bien autre chose qu’une lamentation devant les espèces, j’m’en fous, je ne suis pas collectionneur d’espèces, des millions d’espèces ont disparu depuis que la première lave s’est figée. Seuls m’intéressent les individus. Mon horreur du meurtre, de la souffrance, du saccage, de la peur infligée fait de ma tranche de vie une descente aux enfers. Nous tous, les vivants, ne sommes-nous donc pas des passagers de la même planète ? L’homme n’a pas besoin de ma pitié : il a largement assez de la sienne propre. S’aime-t-il le bougre ! La littérature, la religion, la philosophie, la politique, l’art, la publicité, la science même n’intéressent les hommes que lorsqu’ils les mettent au premier plan, tous ne sont qu’exaltation de l’homme, incitations à aimer l’homme, déification de l’homme. Les bêtes n’ont pas, si j’ose dire, la parole. Elles n’ont pas d’avocat chez les hommes. Elles ne sont que tolérées. Tolérées dans la mesure où elles sont utiles, ou jolies, ou attendrissantes. Ou comestibles. Les hommes les ont ingénieusement classées en animaux "utiles" et animaux “nuisibles". utiles ou nuisibles pour les hommes, ça va de soi. Les Chinois ont patiemment détruit les oiseaux parce qu’ils mangeaient une partie du riz destiné aux Chinois. De quel droit les Chinois sont-ils si nombreux qu’il n’y a plus de place pour les oiseaux ? Du droit du plus fort, hé oui ! Voilà qui est net ! Ne venez plus m’emmerder avec votre supériorité morale. Ni avec vos bons dieux, faits à l’image des hommes, par les hommes, pour les hommes. Si les petits cochons atomiques ne mangent pas l’humanité en route, il n’existera bientôt plus la moindre bête ni la moindre plante "nuisible" ou “inutile”. Le travail est déjà bien avancé et le mouvement s’accélère. La mécanisation libèrera - peut-être - l’homme du travail "servile ". Elle a déjà libéré le cheval : il a disparu. On n’a plus besoin de lui pour tirer la charrue, il n’existe quasiment plus à l’état sauvage, adieu le cheval. Oui, on en gardera quelques-uns, pour jouer au dada, pour le tiercé, pour le ciné, pour la nostalgie. L’insémination artificielle a déjà réduit l’espèce "bœuf" à ses seules femelles. Un taureau féconde -par la poste- des millions de vaches. Oui, on s’en garde quelques-uns pour les corridas, spectacle d’une "bouleversante grandeur" où l’homme, intelligence "sublime", affronte la bête, les yeux dans les yeux … oui, on se garde quelques faisans, quelques lapins, quelques cerfs … pour la chasse. On se garde quelques éléphants pour que les petits merdeux aillent les voir dans les zoos, et quelques autres dans des bouts de savane pour que les papas des merdeux aillent y faire des safaris-photos après le déjeuner d’affaires. Pourquoi je m’énerve comme ça ? parce que je les voudrais semblables à ce qu’ils se vantent d’être, ces tas : un peu plus, un peu mieux que les autres bêtes. Mais non, ils le sont, certes, mais pas assez. Pas autant qu’ils croient. A mi-chemin. Et à mi-chemin entre ce qu’est la bête et ce que devrait être l’homme, il y a le con. Et le con s’octroie sans problème la propriété absolue de la Terre et de tout ce qui vit dessus, et même l’univers entier, tant qu’une espèce plus forte ou plus avancée techniquement mais tout aussi con ne l’aura traité lui-même comme il traite ce qui lui est "inférieur". "Inférieur", rien que ce mot ! Il y a même toute une hiérarchie.
François Cavanna


jeudi 21 juillet 2011

Barnabé fête ses deux ans et demi

Nous y sommes, deux ans et demi. C'est déjà un bel âge pour un rat.
Et ce jour Barnabé est à l'honneur.
Déjà ce matin un bon déjeuner et tantôt encore d'autres bonnes choses.


Aujourd'hui c'est fête pour nos ratous.
Vidéo avec les jeunes copains Jantje le bleu et Juleke Burmese.



Et petites photos officielles de ce jour.




Un très bon demi-anniversaire mon Barnabé!!!!

vendredi 8 juillet 2011

Ship rats

Il y a quelques années, je visitais le port de Bruxelles en fête avec mon bonhomme. A cet occasion il y avait quelques beaux navires à visiter dont le "Grand Turc", reproduction d'une frégate britannique de la bataille de Trafalgar. Tout y était à l'identique, extérieur comme intérieur, au détail près. Quand aux matelots et officiers, tous étaient habiller comme à l'époque.



Me promenant dans l'entrepont, je remarquais une petite cage d'oiseau accrochée au plafond, entre le coin cuisine et les tables des matelots. Je m'approche....et a ma grande stupéfaction j'y découvre un rat. Pas un vivant, bien sur, une peluche.
Pour le coup, je me demande ce que ce rat fait dans cette cage minuscule.
Hélas, personne pour me renseigner.
Aux pieds de l'escalier qui mène au pont principal, je trouve cependant un officier auquel je peux poser ma question; quid de ce rat????

Voici ce qu'il me raconte:

En ce temps là, les voyages étaient très longs. L'on devait aller avec les provisions que l'on avait embarqué.
Parfois l'un ou l'autre matelot capturait un rat. C'est ce rat qui se trouve alors dans cette petite cage.
Les vers que l'on trouvait au bout d'un temps dans la farine, lui servait de repas. Et parfois il était si bien nourri qu'il devenait bien gras.
Et, si un jour la viande venait à manquer à bord, c'est le rat que l'on retrouvait dans la soupe.
La dessus il me dit: bonsoir et bon appétit Madame. D'un petit air narquois.

Vu l'époque et comment on vivait à bord de ces bateaux, cela ne m'étonne pas, je veux bien croire à son histoire de rat en ragoût.

Mais parfois il arrivait que l'un ou l'autre marin, trouvant le rat drôle et gentil compagnon, le rapporte chez lui pour amuser ses enfants.









mardi 21 juin 2011

Les pickpockets

Vous êtes en confiance, vous ne vous doutez de rien.
Eux se baladent, déambulent, observent.
Puis se rapprochent, tournent autour de vous, vous frôlent.......
Et sans que vous vous en rendez compte plongent dans votre poche pour la délesté de son contenu. Et prestement, s'enfuient avec ce qu'il y ont trouvé.

Mes rats sont des pickpockets.!!!!
Et si je veux retrouvé ce qu'ils m'ont pris, je n'ai qu'à aller dans la salle de bain, chercher derrière le panier à linges. C'est là leur repaire de voleurs.


lundi 20 juin 2011

Papy Barnabé

Depuis qu'il a perdu son copain, il a bien changé mon Barnabé.
Il a d'abord cherché son copain Ignace......puis au bout d'un bon mois, il y a renoncé et a fini par ne plus faire de promenades. En fait de promenades, il cherchait son copain.
Et finalement ses pattes arrières se sont petit à petit ankyloser. A force de ne plus bouger, ben...... les muscles s'atrophient, les articulations se raidissent, voilà l'histoire.
Alors il passe son temps à dormir.
Vieux rat solitaire, je n'ose reprendre un autre mâle pour remplacer Ignace. Barnabé est castré et je ne sais s'il accepterait un autre mâle adulte. Et puis l'autre......acceptera-t-il Barnabé, ne voudra-t-il pas le dominer, mon pauvre vieux impotent.

Finalement j'ai adopté deux petits ratons. S'il n'en veut pas. Ils se tiendrons compagnie. Et sinon, c'est lui qui auras une compagnie.

Et voilà......c'est ce que j'ai fait.
Une semaine après leur arrivée j'ai mis tout le monde dans la baignoire (vide ^_^) pour une rencontre en terrain neutre. Et cela a parfaitement réussi.
Petit à petit, ils se sont rencontrés un peu partout.
Dans le couloir qui sert de plaine de jeux aux jeunes ratounets, sur le canapé qui fait partie du territoire de Barnabé, dans leur cage. Et tout se passe très bien.
Enfin........sauf que Barnabé voudrait les suivre et faire pareil qu'eux......mais avec ses pattes arrières qui se paralysent, cela n'est pas possible.
Aussi, ils passent du temps ensemble en sorties, et avec nous sur le canapé. Mais Barnabé reste seul dans sa cage la nuit et quand je m'absente, les jeunes sont dans leur grande cage . Cette grande cage est en effet dangereuse pour Barnabé, qui pourrait tomber en voulant suivre les petits.
Il lui faut sa cage aménagée et capitonnée pour qu'il ne se blesse pas en marchant avec difficulté.

Désormais Barnabé a deux ans et cinq mois. C'est un vieux rat. Et malheureusement, s'il n'a pas trop de problèmes de santé, le fait de ne plus savoir trop bien marcher est pour lui un handicap. Cependant il fait toujours sa toilette avec un grand soins et mange de bon appétit.
Le matin petit-déjeuner sur mes genoux, puis balade et massage.
Le soir gros câlins avant le dodo.

Il a accepté les deux petits sans aucun problème et semble même rechercher leur compagnie, même si quelques fois il couine car c'est un peu remuant ces jeunes ratons, et trop rapide pour lui. Puis ça le piétine sans faire attention à ses douleurs et un jour il s'est un peu fâché et en a remis un à sa place.
Depuis.......il font (parfois) attention.

La cage réaménagé de Barnabé




Les deux cages



La rencontre en terrain neutre


mardi 14 juin 2011

La nouvelle cage

Comme ils ne logent pas avec Barnabé, qui a trop besoin de calme maintenant, je leur aie offert une toute nouvelle cage. Avec plusieurs étages et des coins-dodos partout.
Ils sont jeunes et ont besoin de se dépenser. Ils ont donc une cage spacieuse et le couloir de nuit pour plaine de jeux, avec tunnel et toutes sortes de boîtes et couvertures pour s'y cacher et s'y amuser.

Voici leur demeure:





samedi 28 mai 2011

Jantje et Juleke

Cela faisait déjà pfffffffff, pas mal de temps que je cherchais deux petits ratous.
Mon bonhomme m'avait dit qu'un des deux devait, pour lui, être absolument Dumbo. C'est à dire, avoir les oreilles plus basse que la normal. Cela leur donne un petit air niais, mais bon, y en a qui aiment cela, d'autres pas.
Moi j'aime assez, mais ce n'est  absolument pas nécessaire pour moi. J'aime aussi les rats aux oreilles standards.

Alors me voilà partie à la recherche........refuges, forums, etc....

Et finalement c'est en allant au salon des animaux domestiques "Beestjes & Baasjes" à Gand que nous avons trouvé nos deux ratous.
René Bastiaans, éleveur néerlandais y présentait quelques rats domestiques et parmi eux une superbe maman-rat bleu et dumbo avec sa portée de ratons tout aussi bleu qu'elle et..........tous dumbos.

Et voilà.....mon bonhomme a  craqué sur un petit dumbo bleu. Et moi je me suis retrouvée avec un petit dumbo burmese pour compléter le duo.

Depuis le 28 avril 2011 nous avons donc deux nouveaux petits compagnons.
Jantje le bleu, six semaines à son arrivée chez nous et Juleke le burmese, six semaines et demi.

Première photo


Depuis il ont bien grandi déjà, car cela fait un mois qu'ils sont chez nous et déjà très bien intégrés à leur habitation et à leurs copains humains.
Photos récentes


Jantje



Juleke

Et ce n'est pas fini, l'aventure ne fait que commencer!!!!!!!!

mardi 15 mars 2011

Le Bal du Rat Mort

Du mardi-gras à la mi-carème (Laetaré) le carnaval bat son plein. Cortèges, bals masqués........ plusieurs villes (et villages) de Belgique sont en fête. La cité balnéaire d'Ostende est réputée pour le sien. Outre le cortège, il y a aussi le célèbre "Bal du Rat Mort". Ce bal masqué a lieu tous les ans. Et chaque année voit un autre thème.
Voici le lien du site, http://www.ratmort.be/bal/Default.htm
Le hasard veut que cette année le thème pour ce bal masqué soit le Japon.

Son nom d'origine provient d'un célèbre café Parisien: Le Rat Mort.
En voici l'historique:


En 1896, un groupe de seize joyeux drilles ostendais, tous membres du Cercle Coecilia, se rendirent à Paris pour faire la fête.

Le groupe comprenait: Edgard Quinet, Firmin Pleyn,
Gustave Cnudde, Léon Rinskopf, Arthur Cambier, Fré Deridder,
Albert Ditte, Daniel Vancraeynest, Emile Bulcke, Georges Bulcke, Emile Mathieu, Auguste Pede et George Daveluy.
JAMES ENSOR vint les rejoindre plus tard.
La joyeuse bande s'amusa follement dans la capitale française,
 en particulier dans le quartier de Montmartre.
"Le Moulin Rouge", "Le Ciel", et "L'Enfer" figurèrent à leur programme et au petit matin ils atterrirent au "RAT MORT".

L'orchestre avait déjà quitté les lieux, mais le pianiste et quelques jolies danseuses assuraient aux compères un épilogue digne de leurs folles et inoubliables nuits parisiennes.






 Ces aventures dans la Ville
 Lumière ont dû laisser une
 empreinte indélébile auprès des
 membres du Cercle, car en 1898
 le bal philanthropique fut pour
 la première organisé sous le
 nom de
"Bal du Rat Mort".
affiche 1948
l'affiche de 1948
            


Commencé en 1977 et achevé en 1980, Jan Bucquoy et Jean-François Charles créèrent une bande dessinée dont l'action se passe à Ostende lors du carnaval et, ou le Bal du Rat Mort, joue un grand rôle.

L'action du Bal du rat mort se déroule en 1977 au casino d'Ostende et dans les alentours, avec quelques scènes à Bruxelles. L'intrigue met en scène Jean Lamorgue, inspecteur de police spécialisé en criminologie pathologique, qui est délégué à Ostende pour y résoudre une affaire. Il perdra le contrôle des événements et de lui-même : « Qu'est-ce qu'il m'arrive ? Il faut que je me surveille, je ne me contrôle plus, cette affaire m'angoisse ! C'est comme si je me sentais concerné... ». Arrivés en masse, des rats envahissent les immeubles, vident les réserves dans les caves, bloquent les ascenseurs et s'attaquent aux chats et aux humains. La ville doit être évacuée.




Pour en savoir plus sur cette BD: http://fr.wikipedia.org/wiki/Le_Bal_du_rat_mort

lundi 14 mars 2011

Album photos Ignace et Barnabé

Cet album reprend toutes les photos d'Ignace et de Barnabé lors de la première année qu'il ont vécu près de nous.



jeudi 10 mars 2011

Non mais, pas bientôt fini ces chamailleries.



Cette petite vidéo, qui n'est pas de moi, montre à quel point l'intégration d'un nouveau dans un groupe de rats est parfois un peu compliqué.

dimanche 6 février 2011

L'album de Virgile et Horace

Dans mon ancien blog j'avais une galerie avec des albums-photos. Maintenant de ces photos je fais de petites vidéos.
Et voici donc l'album-photos de mes deux ratous précédent dont on peut suivre la provenance et le parcours dans les archives de ce blog ci.

vendredi 21 janvier 2011

21/1/2011 Barnabé à deux ans!

Deux ans déjà. Oui déjà, car un rat ne vis pas vieux. Enfin si, mais la vieillesse du rat commence précisément à deux ans et peu atteignent leur troisième année. Ils ne vivent donc, par rapport à nous, vraiment très peu de temps.
Et avec la vieillesse, souvent arrive les ennuis de santé.
C'est en fait pareil que pour nous. Certains vieillissent bien, d'autre pas bien et même, certains partent avant de l'atteindre.

Jusqu'à présent on peut dire que Barnabé s'en sort bien (je touche une stère de bois), il n'a eu tout au long de sa vie de rat, qu'un accident (chute??? cela s'est passé durant mon absence suite à une bagarre, je l'ai mentionné dans un autre billet concernant la castration des mes deux ratous), sa castration, et puis une petite intervention, en novembre 2010, pour vider un abcès, rien de trop grave.
Photo du corset que la vétérinaire lui avait confectionné pour qu'il ne puisse ronger ses fils lors de sa dernière intervention:

Il a gardé cela six jours, puis a fini par s'en débarrasser quand même et à ronger ses fils. Heureusement les rats cicatrisent très vite.
Photo de la cicatrice:



Et depuis tout va bien.
Si je n'en aie pas parlé plus tôt, la raison en est que peu de temps après l'on a découvert la maladie d'Ignace, bien plus grave et dont il est décédé depuis, laissant Barnabé seul.


Ainsi donc Barnabé va fêter ses deux ans en petit rat solitaire, mais bien entouré et choyé par nous.

Mon petit pépère, je te souhaite de tout mon coeur de garder ta santé bonne et de vieillir paisiblement près de nous.
Bon anniversaire Barnabichou.