Voici un extrait du film documentaire de Florence Tran.
Il montre certains travaux actuel fait sur des rats.
Travaux qui font froid dans le dos, car...... après les rats, nous peut-être.
Dans la suite de ce film (pas dans cet extrait malheureusement), l'on peut voir également que le rat est capable de rire. Et qui dit rire, dit plaisir.
Le lien suivant traite du rire du rat, extrait toujours du même film, en anglais.
Mais si le rat peut ressentir du plaisir, de la joie, il est donc capable de souffrir aussi.
Pourquoi le traite-on, alors parfois si cruellement.
Le rat est un animal comme un autre, comme un chien, comme un chat........
Avant de médire sur le rat, penser à ceux qui sont sacrifiés dans les laboratoires.
Pour complété ceci, j'y ajoute un article lu sur le blog de Dunia, personne que j'estime beaucoup.
Science: un rongeur proche de nous
90% des gènes du rat sont communs à l'humain
Le rat est le troisième mammifère dont le génome a été cartographié, après la souris et l'humain.
Le rat est en effet le modèle animal le plus fiable que l'on connaisse pour les maladies cardio-vasculaires humaines. Et pour le diabète. Et l'arthrite. Et la haute pression. Et pour plusieurs troubles du comportement, du vertige jusqu'à la dépression. Dans tout ces domaines, et d'autres encore, la physiologie du rat est suffisamment -parfois, étonnamment- similaire à la nôtre pour en faire un tel modèle.
Pour son plus grand malheur. Car des générations de rats ont dû subir des assauts de produits toxiques, de médicaments expérimentaux, de cancers provoqués, de gènes manipulés. C'est grâce à ces assauts que des traitements anti-cancers, anti-sida, anti-tout, ont pu être commercialisés, qu'on en a appris davantage sur les mécanismes du cerveau derrière la toxicomanie, et que des gouvernements ont été obligés de retirer de la circulation des produits toxiques.
Il pourrait donc paraître étonnant que la souris l'ait précédé sur la pente du décodage du génome. La responsabilité en revient aux généticiens eux-mêmes qui, à partir du début des années 1990, moins habitués aux rats que leurs collègues biologistes, ont apprécié de la souris le fait qu'elle se reproduise plus vite: ce qui est plus pratique lorsqu'on se met à jouer avec les gènes et qu'on est pressé de savoir quelle conséquence cela aura sur la génération suivante.
Par la suite, à partir du milieu des années 1990, les généticiens se sont heurtés à des difficultés imprévues sur les rats. Isoler leurs cellule-souches d'embryons s'est avéré impossible, et le clonage reste encore exceptionnellement difficile.
Le rat brun de Norvège (Rattus Norvegicus)*, l'espèce dont le génome a été séquencé, est l'une des 300 lignées de rats connues, et la plus populaire des chercheurs. La séquence comporte 25 000 gènes associés, en tout ou en partie, aux maladies citées plus haut -et c'est là, évidemment, ce qui intéresse les compagnie pharmaceutiques qui financeront les futurs travaux.
Extrait d'une page d'Hebdo-Science d'avril 2004.
*Rattus Norvegicus: rat également domestique.
Dunia et ses rats - Blog "Le Monde"
la ratus family - 5/02/2008 12:09:27
ici lil'breizh moi aussi je suis un rat célèbre je suis née en 1984 ;-)HERVE - 6/02/2008 20:43:45
ʲᵒ . - 7/02/2008 13:50:40
Amicalement Jo